affontement (PV Jilano) [dentelles vives]

Invité

[HRP : deux mois avant mon expedition vers l'arche=>le post avec Natanae]

Les Dentelles Vives, une chaine de montagne maison des Faëls...
J'étais déjà venu ici durant mon voyage, les Faëls ne me posaient pas de problèmes, pour eux seul un Marchombre pouvait grimper si haut, même les dessinateurs ne pouvaient atteindre pour nul ne sait la raison.
Percher si haut, j'avais une vue magnifique sur le Pollimage, la forêt d'Ombreuse et le lac de Al-Chen.
C'était beau, même pour un Mercenaire du Chaos comme moi.
J'étais sans doute l'un des seuls mercenaires à réussir à monter ici. Je devais cet exploit à mon matériel si particulier. Mes lames de poignets rétractables par un jeu de lanière de cuire étaient capables de porter plus que mon poids mais me demandais une force considérable.
Cet invention je la devais à une observation des chats. Aussi surprenant que cela puisse paraitre, la faculté d'un chat à sortir ces griffes pour tuer m'avait plu.
La seule différence était que mes griffes à moi, étaient réparties deux à deux sur chaque main. Que l'une ne dépendait pas de l'autre et qu'elle faisait respectivement vingts et trente centimètres en un métal indestructible secret des forges des mercenaires de l'ile des Murmures.

Un bruit me parvint à mes oreilles... Impossible que ce soit un Faël, ils ne m'auraient pas approchés sans me connaitre où que j'aille les chercher...
*pour eux seul les Marchombres pouvaient grimper ici*

Avais-je de la visite d'un de mes ennemis les plus intimes.
Je ne bougeai pas et me mis dos à la provenance du bruit, étant des pas sur les rochers instables.

J'avais un terrible avantage sur le marchombre... Pour lui et à cause de ma tenue proche des leurs, de ma présence à un endroit si inaccessible et étant de dos, il ne pouvait pas me reconnaitre et il était quasiment sur qu'il me prenait pour un de ses compagnons...
Je ne dis rien et attendit.

Cela faisait trois jours, que j'étais parti du village du traitre, j'avais traversé des forêts, des plaines. J'arrivais enfin aux dentelles vives, j'attachai mon cheval à un arbre. Et je commançait mon ascension, cela faisaient longtemps

*Dire que je ne suis pas venu depuis la fin de mon apprentissage avec Eléa, cela fera 23 ans dans deux jours, elle me manquait*.

Une larme perla sur ma joue, je ne l'essuyai pas en souvenir de mon enfance.

que je n'étais pas monté sur cette montagne, perché si haut, j'aurais une vue magnifique sur le Pollimage, la forêt d'Ombreuse et le lac de Al-Chen.

Arrivé au sommet, j'entendis des bruits de lames, cela ne pouvait être qu'un marchombre, un mercenaire ne pouvait pas montait si haut et ils n'avaient je pense pas que cela à faire.

*Si c'est un marchombre cela n'est pas gave, mais ça peut être aussi un marchombre*

Je fis donc le tour de la montagne la paroi était assez instable, là ce que je vis me troubla, je ne le connaissais pas et pourtant je connaissais presque tous les marchombres, je me préparai donc au combat mais sans le montrer, mon fouet prêt à sortir, je lui dis avec méfiance :

"-Salut, qui es-tu ?"

Invité

Le marchombre fit le tour pour se retrouver en face de moi.
Il était à environ huit mètres en face de moi... Agé, c'était bien un Marchombre et comme prévu il semblait étonné.

Je leva la tête vers lui... Je savais que mon regard plutôt froid allait me trahir. Mais tant pis je le laisserai réagir. Surtout que mes lames étaient prêtes à sortir. Je savais qu'à distance le combat serait difficile surtout le temps que je décroche mon arbalète courte de mon paquetage.
Un poignard de lancé aurait pu surprendre un jeune marchombre mais pas un si expérimenté.
Avant de lever la tête, ma main glissa doucement dans ma tunique, ce que je faisais avec était invisible pour le marchombre.
Dans ma tunique et sur mon armure se trouvait de nombreux endroit où je cachais mon matériel. Toujours sous ma tunique j'étais en train d'enduire mes lames de poignets avec un produit venu de la terre des Septentrions. A base d'acide et de cyanure le produit augmentait fortement les dégâts que je causais avec mes lames...

Je leva la tête en posant mes mains bien en évidence, pour le marchombre je n'avais aucune arme dedans...
Mon capuchon tomba sur mes épaules dévoilant mon visage et libérant mes longs cheveux et mon anneaux de Jade.
Je lui répondis :

-Un homme, surprenant non ? Et toi Marchombre, comment t'appelle-t-on dans les souterrains de Al-Jeit ?

Je le regardai longuement, il ressemblait étrangement au marchombre mais je le sentais ce ne pouvait être un marchombre. Quand il me répondit cela devint claire dans ma tête :

*Voila le plus grand des mercenaires du chaos.*

Je ne devais pas montrait mon étonnement, normalement je devrais penser comme tout le monde :

*Seul un marchombre peut gravir cette montagne, mais je sais qu'il ne faut pas sous-estimer les mercenaires du chaos.*

Je regardait et inspectait le relief, je m'étais déjà battu sur des montagnes, mais jamais contre un mercenaire.
La paroi était fragile, il nous faudrait resté concentrés, c'est là que j'eus le déclic :

*Le déconcentrer, le laisser croire que je crois que c'est un marchombre.*

Je lui répondis donc :
"-Si tu sais cela je peut te répondre, on m'appelle de plusieurs façons Leg, Eldarion ou encore Jilano Alhuïn"

Tout en lui parlant, je continuait de regarder en haut et en bas, je pourrais toujours m'accrocher à l'aide de mon fouet.

J'écrivis sur le sol pour lui faire comprendre que son jeu ne m'avait pas troublé, et que je savais :

Vérité révélée
Mort à la clé
Duel

Cela le ferait réfléchir et le déconcentrerai, à moi d'en profiter alors...

Invité

Jilano Alhuin, ce prénom je l'avais déjà entendu une fois.

-Jilano... c'est la deuxième fois que j'entends ton prénom... La première c'était un Marchombre, il a beaucoup souffert sous la torture avant de me dévoiler le secret des souterrains d'Al-Jeit. Il est mort en me disant que Jilano Alhuin le vengerait... Aujourd'hui je tombe face à face avec le vengeur, quel hasard.

Je le vis écrire quelques mots :

Vérité révélée
Mort à la clé
Duel

La poésie Marchombre, une énigme pour la plupart des gens, une réponse pour d'autre, un flot d'idée, de sentiment et de passion pour les Marchombres.
Aussi surprenant qu'il puisse paraitre j'avais adopté leur manière de faire, en effet malgré le fait d'etre diamétralement opposé, moi, un Mercenaire du Chaos, j'appréciais la poésie des Marchombres. C'était à vrai dire la seule chose que j'appréciais d'eux.
Ma réponse ne tarda pas.

Montagnes hautes
Soleil bas
Mort

En effet, le soleil commençait à se coucher incendiant le ciel et les nuages.
Je brisai le silence :

-Oui je suis un Mercenaire du Chaos, je sers ma propore guilde et tu es par ton rang un de mes ennemis. Jilano, je suis Herumor. Souviens-toi de ce prénom si jamais le combat inévitable qui va suivre ne se termine pas par une mise à mort.

Je me levai et une de mes lames sortit à mon bras droit.

*Herumor le meilleur parmi les meilleurs mercenaires du chaos.*

On m'en n'avait déjà parlé, un pure assassin mais l'un des meilleurs si ce n'est pas le meilleur. Voilà un combat qui promettait.

*Il comprend en plus la poésie*

Là mon calme ne put plus me contrôler, je fis jaillir mon fouet de mon poignet, il le vit, cela ne pouvait certifier que la mort personne n'avait le droit de connaitre la greffe sauf un marchombre, même aux apprentis se n'était révéler qu'au dernier moment.

Je fis claquer mon fouet contre la paroi, et en même temps sans qu'il le voit, avec une extrême rapidité, je sortis ma dague droite, le combat pouvait enfin commencer, il serait basé sur la rapidité, l'agilité et la force.

Quand mon fouet claqua pour la troisième fois, je le fis claquer sur son visage .

*j'espère que ça le calmera et que par cela lui aurait au moins baissait la vue.*

Il se leva et une de ses lames sorties à son bras droit.

Invité

Un fouet!!! Un fouet jaillit tout droit de sa main. Mon premier réflexe fut d'être surpris. Mais rapidement le danger du combat rappela ma conscience et me permit de réagir quasiment instantanément.
Le fouet arrivait au niveau de mon visage quand avec une rapidité dûe a mes heures d'entrainements je fit une roulade à terre pour l'esquiver puis me relever hors de portée.

-La greffe des Marchombres... Inconnue et gardée secrete mais son existence a été découverte par la guilde des Mercenaires il y a déjà quelques années et sache que le Rentaï est désormais surveillé, Jilano.

Le fouet était une arme puissante pour un combat de mi-distance. Mais au combat rapproché il était inutile car demandait un mouvement d'amplitude trop long. Un maitre-Marchombre ne pouvait être aussi stupide pour ne pas savoir ça.
Il fallait que cela devienne mon avantage sur mon adversaire.

Il était temps de riposter. Je lançais un poignard de jet au niveau de sa carotide. Puis pendant qu'il parait ce coup qui n'était qu'un leurre, je m'approchai et visai avec mes lames de poignet son artère radiale (niveau du poignet), c'était certes un coup bas mais j'étais désormais trop prêt de lui pour que son fouet me pose d'importants problèmes.

Le corps à corps était engagé, je savais que mon attaque sur son poignet n'était pas très dure mais me permettrait de jauger mon adversaire.
Le combat s'annonçait violent et vraiment pasionnant.

Il lança un poignard de jet au niveau de ma carotide. Puis pendant que je parait le coup, il m'approcha et visai avec ses lames de poignet mon artère radiale (niveau du poignet).

Le corps à corps était engagé. Mon fouet ne me servirait à rien, quoi que cela pourrait me servir lors de mon jet.

Son coup me fit des dégâts mineurs, c'était à moi de montrer tout mon talent.

En une seconde mes deux dagues étaient sorties et fusaient vers son ventre mais à ce moment-là, je lâchai mes dagues et je tirai une flèche avec le gant d'Ambarinal.
La flèche noire, rapide et mortelle fusa vers son coude droit. Je ramassais mes dagues et fléchis mes jambes, près au combat.

Je lui dis:
-Tu ne t'y attendais pas, me suis entrainé des jours pour le réussir.

Il lança un poignard de jet au niveau de ma carotide. Puis pendant que je parait le coup, il m'approcha et visai avec ses lames de poignet mon artère radiale (niveau du poignet).

Le corps à corps était engagé. Mon fouet ne me servirait à rien, quoi que cela pourrait me servir lors de mon jet.

Son coup me fit des dégâts mineurs, c'était à moi de montrer tout mon talent.

En une seconde mes deux dagues étaient sorties et fusaient vers son ventre mais à ce moment-là, je lâchai mes dagues et je tirai une flèche avec le gant d'Ambarinal.
La flèche noire, rapide et mortelle fusa vers son coude droit. Je ramassais mes dagues et fléchis mes jambes, près au combat.

Je lui dis:
-Tu ne t'y attendais pas, me suis entrainé des jours pour le réussir.

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